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Parce qu'on a tous besoin d'un expert en antiquités perses [Terminé]

Joshua Turner
Joshua Turner
Messages : 7
Crédits : 0
Mar 30 Jan - 19:38
Joshua Turner



1
Identité de Votre Personnage

Nom :
Turner

Prénom :
Joshua

Age :
22 ans

Nationalité :
États-unien

Groupe RP:
Humain

Date de naissance :
17 août 1995

Avatar :
Agon Kongô, Eyeshield 21

Situation familiale :

Célibataire. Ainé d'une petite fratrie, dont Rina Watanabe, mais vit seul.

Situation professionnelle :

En Master 2 d'histoire, effectue un stage chez "Grandpa's Attic", un antiquaire. Souhaite préparer une thèse de doctorat sur l'antique Empire perse.
En parallèle, est le line-backer des Utah Football, l'équipe de football américain de l'University of Utah.

2
Qui es-tu ?

CARACTÈRE - Un curieux mélange, que ce Joshua. Un garçon à mi-chemin entre la brute au cœur doux et le poète aux gros bras, il excelle dans ce que l’on pourrait appeler les traits en demi teintes.
Voyez, par exemple, c’est quelqu’un de foncièrement décidé. Lorsqu’il a une idée en tête, il ira sans fléchir du point A au point B, sans jamais quémander la moindre main, sans jamais se plaindre ; mais, malgré cette détermination louable, il est capable de s’égarer huit fois en chemin.

Voici, concrètement, le point d’orgue de son caractère. Un type fier et un poil vantard, capable d’observer d’un regard narquois la plupart des gens qui l’entourent, mais tout autant en mesure de bafouiller lorsqu’il devra se présenter. L’arrogant timide, en somme.
Une autre démonstration ? Lui qui brille dans équipe par ses talents sportifs, est maladroit dans la vie de tous les jours. Pas une après-midi ne file sans qu’il ne soit à deux doigts de faire tomber l’antiquité précieuse de la boutique – mais, toujours sous l’égide de la semi mesure, il se rattrape à l’ultime moment.

En fait, si l’on devait le décrire plus simplement, disons qu’il est simplement neutre. Foncièrement neutre. Ni un gars méchant, ni un enfant de cœur ; voilà tout. Il pense à lui avant tout, mais n’hésite pas avant de donner un coup de pouce à qui le mérite, si jamais ça ne le met pas de trop dans le pétrin.

En revanche, n’allez pas le chercher. Même si ceux qui ont fini par le côtoyer le savent assez calme, il en reste un sanguin caché. Un zeste de mots de travers au-dessus du quota, et son poing s’envole vite – d’où quelques sales fins de matchs, d’ailleurs.
PHYSIQUE - Sur la pelouse, Joshua est comme un autre. Massif – 1m90 pour 84kg -, musclé, blotti sous une colline de protection, seul deux minces détails le trahissent : son numéro, et la visière de son casque, garde-fou de sa myopie.
Mais lorsque le sifflet final retentit, qu’il se désengonce de cette armure moderne, c’est là que l’on aperçoit une partie plus intime de sa silhouette. A mesure qu’il se déshabille, se douche, se révèlent quelques éléments de sa personne. Tout d’abord, la couleur métisse de sa peau ; puis, une tache de vin sur sa fesse gauche ; enfin, de vieilles cicatrices tout le long de ses côtes, réminiscences de bien des matchs âprement disputés.  

Alors, une fois mis à nu, il se rhabille. On lui découvre un jean large, un t-shirt presque de lin, un blazer parfois orné d’arabesques asiatiques … Mais aussi des dreads pendantes, et des lunettes de soleil au teint rouge, tristement à sa vue.
Lorsqu’il se décide à sortir de ce vestiaire, on lui trouve une démarche volontaire, assurée. Celle de celui qui sait où il se rend, même si cela signifie aussi se perdre quatre fois en route au lieu de demander de l’aide – mais qu’importe, il n’est pas pressé.

Puis, si une dernière remarque était nécessaire, c’en serait une sur son sourire. Malgré son visage souvent sérieux, il ne se prive pas l’embaumer quelque fois d’un sourire en coin, rusé et charmeur ; le genre qui agrémente de davantage de beauté un minois déjà plutôt agréable, sans pour autant en faire un apollon du domaine.
HISTOIRE - Il arrive parfois, lorsqu’on se trompe de train ou boit un peu trop, que l’on atterrisse dans une ville pour laquelle on n’éprouve pas le moins intérêt, ou l’once d’une attache. Des cités dans ce genre, il y en a bien trop dans ce brave pays pour être toutes listées ; mais aujourd’hui, disons que l’on s’est perdu à Salt Lake City. Un quart de métropole au cœur de l’Utah, égaré au beau milieu d’une carte trop grande, avec un charme qui se découvre après des semaines d’ennui – ou beaucoup de volonté.
Puis, poussons le vice et imaginons que l’on ait décidé d’errer dans les rues … Vastes ? de ce gros patelin. Il se peut, par pur hasard, qu’au croisement de deux numéros d’avenues, l’on finisse par apercevoir la devanture d’une veille boutique, une espèce de bicoque d’un autre âge grimée d’un « Grandpa’s Attic » en peinture écaillée et de vitres fraîchement lavées. Un endroit probablement ennuyeux en somme ; mais, parce que nous sommes fous, nous allons nous figurer y rentrer.
Alors, là, s’offriraient à nos yeux assoupis et éberlués, des rangées et des rangées de vieilleries – certaines probablement fonctionnelles, d’autres dédiée à une décoration de mauvais goût -, et, derrière un comptoir, un jeune homme. Grand, métis, dreadlocké, avec des lunettes de soleil en intérieur, le genre à avoir été confondu avec un vigile bien trop de fois. Voilà, là, lui. C’est lui qui nous intéresse.
Parce qu’après tout, qu’est-ce que ce gars fout là ?

D’ordinaire, c’est à ce moment que l’on décide de remonter à la naissance de ce gaillard, et de raconter toutes les péripéties de son enfance. Sauf que dans notre cas, ce serait gâcher des pages que de narrer en détails son passé – pas qu’il soit ennuyeux, mais disons qu’il est davantage … Banal. Mais il est probablement inévitable de passer par là.
Ainsi, Joshua est né à San Antonio, au Texas. Son père était noir, sa mère blanche ; et leur nom n’importe pas. Ce qu’il y a savoir, c’est qu’ils ont divorcé bien rapidement : pour ses deux ans, à vrai dire. Malgré ça, et la naissance d’une demi-sœur, issue d’un nouveau concubinage de la part de sa génitrice, il passa toute sa jeunesse dans le coin, le crâne matraqué par les dogmes mormons que son père tenait tant à lui inculquer. Et que lui tenait tant à oublier.

Ah, si. Quelque de chose de notable là-dedans : il était passionné par le sport – ou plutôt, par le football américain. Le pire, c’est qu’il y était bon, le con. Pas assez pour espérer une carrière, mais suffisamment pour que quelques universités en dèche de recrues lui proposent des bourses. Pour Joshua, qui n’avait pas d’autres projets que le match de samedi prochain, ce fut une sacrée aubaine ; et c’est ainsi qu’une fois son lycée terminé sans histoire, il s’en alla pour l’Utah.

Pause. Pourquoi l’Utah, vous demandez-vous sûrement. Et si j’évoque le fait que c’est la capitale mormone, est-ce que ça vous met la puce à l’oreille ? Oui, voilà, ça. Son père, encore figure d’autorité, fit le choix à sa place – et lui, bien content de s’en aller loin, ne broncha pas quand il lui barra la route vers Orlando. De toute façon, Disney, ça n’avait jamais été sa tasse de thé.

Un interlude estival plus tard, Joshua prit ses quartiers dans un coin étudiant du centre salispolitain, prêt à démarrer une toute autre vie que celle du traintrain ennuyeux et répétitif que lui offrait San Antonio.
Oh, oui, les premiers jours furent fastes, il faut bien l’avouer : son léger accent eut son succès, et heureux de sa liberté naissante, il enchaîna assez rapidement les conquêtes. Ah, quel plaisir de ne plus avoir son géniteur au domicile !
Puis, il va de soi, les choses se calmèrent, doucement et tristement. Les cours commencèrent, et tandis qu’il prenait un malin plaisir à royalement les sécher pour vaquer à quelques lubriques occupations, le gong de la responsabilité lui tomba dessus. Ou plutôt, une lettre avec recommandée fut glissée dans sa boîte aux lettres - dessus, quelques phrases, dans un style des plus épurés.
Lesquelles ? Boh, il a oublié, depuis. Mais en bref, c’était une simple mise en demeure : s’il continuait l’année comme avait il en avait mené les trois premiers mois, il serait tout bonnement mis à la porte de l’équipe, et sa bourse bien naturellement ôtée.

D’ailleurs, nous n’avons pas encore parlé de l’équipe ; les Utah Football, apparemment véridiquement peu inspirés. Une charmante compagnie, avec ce qu’il faut là où il faut, et surtout une armée de jeunes jaloux et motivés prêts à grappiller la moindre place qui se libérerait.
Coup de bol, il se trouve que notre garçon parvint à se faire un nom dès les premiers entraînements, et ses performances sur la rencontre qui vint les couronner furent tout à fait appréciables. Assez pour lui assurer une place durable au sein du roster, tant est que des forces supérieures ne viennent pas fourrer leur nez là-dedans.
Et c’est justement ce qu’il arriva, avec cette lettre.

Alors, il changea. Le gamin vantard, plein d’hormones et paresseux devint… Oui, certes, sensiblement la même chose, mais il allait en cours, quoi. Ce qui était déjà une sacrée amélioration, faut dire.
Qui plus est quand on sait que sa major, il la choisît par erreur. Ou plutôt, par hasard – passons les détails, mais ce fut sans grande conviction que Joshua cocha la case qui s’offrit à ses yeux, et avec encore moins de celles-ci qu’il découvrit qu’il était désormais un fier étudiant d’histoire.
Oui, d’histoire. Pour un type qui n’en avait rien eu à carrer des cours de Mme. Abel durant toute sa scolarité, la suite de sa licence allait s’avérer périlleuse.

Sauf que comble de l’ironie, il n’en fut rien. Pas qu’il fut un quelconque élève brillant ou quoi que ce soit, mais il passa chaque année. Un poil au-dessus de la moyenne de ses comparses au passage, juste ce qu’il fallait pour attirer l’attention des messieurs jurys de Master. Et voilà qu’il était parti pour continuer dans la même branche, désormais intéressé par ce qu’il faisait, et sensiblement plus mature.
Car oui, vous vous demandez sûrement ce qu’il fit, durant ces trois années d’études.

Eh bien, rien de bien extraordinaire. Du football américain, bien sûr ; quelques parades amoureuses, évidemment ; des soirées de beuveries à foison, il va de soi. En dehors de ça, pas grand-chose qui ne fut particulièrement notable, à vrai dire. Un gars normal, un peu passionné par ci, et par ça, qui menait son train de vie à son rythme sans faire de chichis.
Enfin, à peu près. Des ennuis, il en eut, et de tous bords – du vigile trop axé sur sa couleur au joint mal planqué, en passant par le quarterback qui n’avait pas franchement aimé la façon dont il l’avait plaqué, et encore moins celle dont il avait reluqué sa copine. Ouais, voilà. Il finit quelques fois au poste, d’autres chez le directeur, mais jamais à l’osto. D’un autre côté, il avait le physique qui poussait à y réfléchir deux fois, ce qui aidait.

Côté sport, après une longue année sur le banc pour laisser sa place à un petit prodige trop vite blessé, il revint sur le terrain en force. Il n’avait naturellement pas chômé durant sa trop longue période de libération, et lorsque le coach le fit rentrer pour la première fois, il se démarqua largement. Puis, donc, récupéra sa place dans l’équipe A, à son grand bonheur.

Ainsi, telle est son histoire, comme dirait le vieux narrateur. S’il était indispensable de la compléter jusqu’au présent, il faudrait y ajouter les derniers événements de son ultime année de Master ; c’est-à-dire, pas grand-chose non plus. Des notes toujours dans la même trempe, une motivation présente sur tous les bords, voire même une passion naissante pour sa filière. Oui, vraiment. Apparemment, l’histoire perse menait son petit bout de chemin dans son esprit, jusqu’à en devenir une des muses.
Enfin, dans l’idée, quoi. Peut-être. Vaguement, en tous cas.

Reste que, comme demandé par la grande autorité de l’université, il lui fallut trouver un stage. Et après quelques maigres journées de recherches, il tomba sur un vieil homme qui accepta de le prendre la poignée de mois nécessaires. Un certain Alberic Vernon, patron d’une petite boutique d’antiquités au coin d’une rue plus ou moins fréquentée – un travail à mi-chemin entre l’exigence et l’ennui.
Voilà. L’affaire tourne bien, occupe ses journées, lui laisse assez de temps pour vivre. Les choses suivent leur cours, et lui profite de sa jeunesse. Fin.

Ah, non, un dernier truc. Le côté mormon, pieux, tout ça … Bien, en fait, il s’en fout. Ouais, ouais, vraiment. C’est le dada de son père ça, pas le sien ; alors même s’il est allé à l’église une ou deux fois lors de ses semaines les plus fraîches, c’était davantage pour donner bonne conscience à son géniteur qu’autre chose. Être athée lui suffit, et il a clairement autre chose à faire de ses dimanches.
Comme s’entraîner, bande de petits coquins.  
(c) Reira de Libre Graph'


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Rina Watanabe
Rina Watanabe
Messages : 17
Crédits : 0
Lun 12 Fév - 23:24
Rina Watanabe
Validation de personnage

Hey Joshua o/ Contente de te valider, on va pouvoir enfin rp comme il se doit. Du coup, tout me va, que ça soit pour les descriptions ou pour l'histoire. Tu passes l'étape de la validation.

Dès à présent, tu peux vagabonder sur le forum et commencer des RPs. Si jamais tu ne sais pas avec qui et comment RP, tu peux aller dans cette section, faire une demande de RP.
Si jamais tu veux paraître bien organisé, il y a la section des listing de RP et de relation, qui te permettra de tout bien rangé comme tu le veux.

Et bien sûr, tu auras probablement des questions au cours de cette aventure RP, alors je t'invite fortement à les poser dans la FAQ du forum. N'hésite pas, nous répondrons aussi vite que possible. Amuse-toi bien parmi nous ! C'est parti !
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